Vidéo 17 – 13:26
En Français vous lisez la transcription manuelle de la vidéo short de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.
Richard Glenn (RG) : Le thème d’aujourd’hui : La prophétie. Celui que vous reconnaissez sûrement, tout le monde, Bernard de Montréal, bonjour.
Bernard de Montréal (BdM) : Bonjour.
RG : Bernard de Montréal, je pense qu’aujourd’hui on est dans le Québec à vivre une espèce de traumatisme, peut-être un choc, mais je me souviens d’un Bernard de Montréal il y a quelques années dans des conférences, vous avez dit : un choc des fois, c’est ce que ça prend à des gens pour les réveiller, pour peut-être les mettre en contact avec une nouvelle énergie, celle que vous appelez le supramental ?
(RG diffuse un extrait passé à la TV sur les attentats) : “New York, Los Angeles, il n’y a plus de communication possible avec Washington et Los Angeles mais nous avons des images de New York où le chaos est présentement indescriptible. Claude, est-ce que vous êtes là ? C’est apocalyptique Pierre, c’est horrible de voir ça tomber, c’est le pire spectacle que j’aie vu de ma vie, les gens sont horrifiés, les gens pleurent… Il semble que ce soit toute l’Amérique qui soit visée, puisqu’on vient d’apprendre que Toronto a été également la cible d’une attaque, c’est à se demander si Montréal ne sera pas la prochaine…
Le cavalier du gigantesque cheval blanc de l’Apocalypse a rajouté une nouvelle arme à son éventail d’épouvante, une arme capable de détruire le monde entier en l’espace de quelques heures. Un verset des textes sacrés prédit que la guerre s’embrasera dans le Moyen-Orient et qu’elle finira par consumer toute la planète”.
RG : On est peut-être en train de vivre au Québec, quelque chose qui fait avancer tout le monde sur le plan de la conscience, quelles sont les réflexions qu’un Bernard de Montréal a peut-être eu devant cet évènement ? (Les deux tours).
BdM : Une expérience comme ça, une expérience sociale de cet ordre-là, c’est un bon test pour une personne, pour une famille…
RG : Et pour une collectivité ?
BdM : Et pour une collectivité. Mais moi quand je parle, je parle toujours pour l’individu, donc mon regard, ma vision des choses est toujours par rapport à l’Homme, comment l’Homme réagit, l’individu, la femme, l’enfant, le père… réagissent dans une situation comme ça, et c’est à partir de la réaction individuelle qu’il faut ou qu’on peut mesurer le degré d’Intelligence.
Si on se fie à la réaction sociale, il n’y a pas d’Intelligence dans une collectivité, la collectivité c’est comme un troupeau, donc les gens qui vont bien se sortir de cette situation seront ceux qui auront réussi à mettre le moins d’émotion dedans, et à suivre les ordres stabilisants du corps policier, des corps policiers ou du système autour qui est obligé de se mettre en place pour amener de l’aide à la collectivité.
RG : Pour rétablir l’équilibre un peu ?
BdM : Pour rétablir l’équilibre. Il y a certainement des gens parmi tout ce groupe-là qui démontreront une certaine agilité d’esprit, dans ce sens qu’ils deviendront les pointes de lance de cette collectivité-là, peut-être des médecins ou des avocats ou des gens même du peuple, qui serviront de porte-parole à ce groupe, à ce grand groupe de personnes affligées.
Mais je retourne toujours sur le plan individuel, moi ce qui se passe au niveau social, ce qui se passe dans la conflagration sociale, c’est toujours secondaire à ce qui se passe dans l’intimité de l’Homme. Un être humain qui se contient, un être humain qui ne se laisse pas aller dans trop d’imaginaire, un être humain qui contrôle un peu son être, à l’intérieur d’une conflagration dans un cataclysme quelconque, ou dans une situation sévère, s’en tire, parce qu’il est toujours nourri par son Esprit.
Mais s’il se laisse émotiver, à ce moment-là toute la mémoire, tout le jeu subtil du subconscient entre en activité, trouble ses réflexes naturels, bloque son Intelligence, “rempire” sa situation et fait de son expérience, un enfer.
RG : La méfiance que les individus développent envers les système et le grand système, fait-il partie d’une fausse réalité ? Ou plutôt d’une perception très intelligente et j’allais dire très intuitive ? Du fait qu’on ne révèle pas toute la vérité parce que toute vérité n’est pas toujours bonne à dire, du fait qu’il faut protéger l’ordre établi, plutôt que de faire face à, peut-être, une réponse qui serait tellement énorme, interdire des zones pendant vingt ans ou agir sur la santé physique des gens, d’une manière tellement différente et alarmante qu’on préfère taire encore une fois la réalité.
Et ce pourquoi je vous ai demandé de donner votre point de vue sur notre émission aujourd’hui, c’est parce qu’on a l’impression que ce qui est arrivé finira un jour ou l’autre par arriver à l’échelle planétaire, la catastrophe planétaire nous tombera peut-être un jour dessus ?
BdM : Oui, mais si on vit dans l’attente d’une catastrophe planétaire, on se crée énormément d’anxiété.
RG : On vit avec le masque à gaz sur la tête.
BdM : On vit déjà avec le masque à gaz sur la tête. Pour moi c’est une situation qui n’est pas à conseiller, il ne s’agit pas pour l’Homme, pour les individus, de vivre par rapport à l’avenir, c’est très très mauvais, c’est très mauvais, parce que les gens vont se créer de l’anxiété. Les gens qui vont faire la prophétie de tel ou de tel évènement, même les prophéties de Nostradamus sont des voies d’informations qui, dans le temps, lorsqu’elles se manifestent, ne sont jamais à la mesure de la prophétie elle-même.
Les évènements dans le monde ne seront jamais vécus dans l’expérience individuelle comme peuvent le colorer les prophéties. Les prophéties donnent toujours à une information interne, une dimension qui n’est pas cernable, donc l’individu lui, a tendance à amplifier l’impression et à la rendre plus grave. Par exemple : Prenons la deuxième guerre mondiale, prenons le Vietnam, dans la mesure où ces évènements auraient pu être prophétisés, la réalité de l’évènement et la constatation prophétique n’est pas la même.
À l’intérieur du Vietnam, à l’intérieur de la deuxième guerre mondiale vous avez des individus qui ont vécu une expérience, à la mesure de leur propre évolution. Donc ces individus-là n’ont pas vécu l’expérience par rapport à la prophétie, ils ont vécu l’expérience par rapport à eux-mêmes ; donc même s’il y avait dans l’avenir une grande conflagration, un grand évènement mondial, les individus vivront cet évènement par rapport à eux-mêmes.
Ils ne le vivront pas par rapport à la prophétie, même si la Californie devrait sombrer sous les eaux, les individus le vivront par rapport à eux-mêmes et non par rapport à la prophétie. Donc il y a un décalage entre l’expérience de l’âme de l’individu, et l’information gratuite prophétique venant des médiums ou des prophètes anciens.
RG : Qu’est-ce que vous entendez par expérience de l’âme ?
BDM : L’expérience de l’âme veut dire qu’il y a des individus qui se sortiront très très bien d’affaire dans ces situations, il y a des individus qui, à cause de la lumière dans leur mental, pourront voir d’avance ou même s’ils ne voient pas d’avance, pourront, dans le moment de l’expérience, découvrir une voie de sortie de cette expérience.
L’Homme est extrêmement grand stratège lorsqu’il s’agit pour lui de se sortir d’une situation qui est dangereuse, donc les prophéties, de mon point de vue, sont nécessaires, parce qu’elles servent à démontrer à l’humanité qu’il existe des plans d’organisation dans l’univers qui ne sont pas matériels, des plans où le temps est autre, des plans où des intelligences décorporalisées existent, travaillent, et des plans qui ont la fonction de rendre l’Homme conscient de leur réalité.
RG : Mais vous dites que par des chocs comme celui-là, comme d’autres, c’est la méthode pour faire avancer la conscience ?
BDM : C’est la méthode utilisée pour faire avancer la conscience, pour sensibiliser l’Homme au réel, et c’est une méthode qui fait partie de la politique cosmique, qui fait partie de la politique des sphères et qui fait aussi partie du grand mensonge des sphères.
RG : Qu’est-ce que vous entendez par là ?
BDM : Le mensonge des sphères, c’est une loi cosmique qui fait en sorte que l’Homme, tant qu’il n’est pas suffisamment mental, autrement dit tant qu’il n’est pas suffisamment dans sa propre énergie, est obligé d’être protégé contre la réalité des temps à venir, par de l’information qui sert à le préparer psychologiquement, émotivement, spirituellement, mais non mentalement. Et ça, ça fait partie des grandes conditions qui sont sous-jacentes à l’expérience de l’humanité. Un Homme qui serait conscient, qui aurait un contact intérieur absolu, n’aurait jamais de problème face aux cataclysmes futurs de l’humanité, mais ceci ferait partie de son expérience, peut-être ferait partie de l’expérience d’un certain nombre de personnes avec lui.
RG : Et vous dites qu’il ne sera pas là où il y aura des cataclysmes ?
BdM : Non, il ne serait pas affecté et probablement il ne serait pas là. Donc les cataclysmes ou les prophéties des cataclysmes font partie de l’expérience collective de l’âme de la Terre, de l’âme de l’humanité, mais elles ne font pas partie de l’expérience individuelle de l’Homme qui a une conscience intégrale.
RG : Voulez-vous dire que ceux qui n’avaient pas à être là ou à vivre ça n’étaient pas là sur place ?
BdM : Exactement.
RG : Et que tous ceux qui ont été victimes, ils avaient… ?
BdM : Ça fait partie de leur expérience.
RG : Ils avaient à vivre ça pour faire un pas en avant ?
BdM : Pour faire un pas en avant.
RG : Et comme tout le monde n’est pas à la même place, mais tout le monde fera un pas en avant, mais il y en a qui seront beaucoup plus en avant que d’autres qui étaient déjà en arrière ?
BdM : Oui, dans ce sens que toutes les expériences humaines sur le plan matériel font partie de l’évolution de l’âme, que ce soit le Vietnam ou que ce soit n’importe quoi. L’âme est assujettie aux lois de l’expérience, et tant que l’Homme vivra simplement de l’âme et qu’il ne vivra pas d’Esprit, il sera assujetti à l’expérience de l’âme, parce qu’elle est plus puissante dans son expérience que l’Esprit ne l’est. Mais à partir du temps où l’Homme sera dans son Esprit, qu’il aura sa propre Lumière, qu’il aura une conscience réellement supramentale au-delà du mental planétaire, à ce moment-là il ne sera plus assujetti à ces expériences-là.
(Extraits d’images du 11septembre 2001).
RG : À bientôt Bernard.
mise à jour le 20/09/2024