Conférence avec François Payotte 57
En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.
François Payotte (FP) : On reprend l’ouvrage où on l’avait laissé dans la conférence précédente. On continue ce qui avait été arrêté faute de temps. La dernière question était de savoir où sont vos frères de la sixième race, où sont ces gens supramentaux, et si demain ils ont à parler en public, à se faire connaître, et qu’ils ne sont, comme vous avez dit, ni des scientifiques, ni des théologiens, ni des philosophes, ni ceci, ni cela, qui est-ce qui va leur donner du crédit ? Qui est-ce qui va leur donner pignon sur rue et où sont-ils ?
Bernard de Montréal (BdM) : Les Hommes… Regardons la situation au vingt-et-unième siècle, dans quelques années les masses humaines seront de plus en plus préparées à des ouvertures d’esprit, à des nouvelles idées, ainsi de suite. Et les Hommes qui auront des choses à dire, les Hommes qui auront accès leur propre parole, les Hommes qui auront une parole de plus en plus juste, les Hommes surtout, où l’on ne sentira pas l’ego dans la parole, ces Hommes-là pénétreront la conscience sociale.
Ce qui empêche un Homme de pénétrer la conscience sociale, et de la choquer plutôt que de la pénétrer, c’est l’ego, autrement dit cette partie du moi qui colore la parole. Et les masses humaines, les hommes, les femmes, sont prêts, dans n’importe quel pays, sont prêts à entendre des choses qui viennent d’une autre dimension du réel. Mais pour qu’ils s’ouvrent, pour qu’ils soient réellement prêts à vivre cette ouverture, cette pénétration, et finalement vivre l’échange, il faut que ceux qui, demain, parleront, soient réellement épurés de l’égocentricité.
C’est l’égocentricité qui est un problème parce que l’égocentricité colore la parole. Les gens ne sont pas idiots même si les gens n’ont pas de grandes connaissances occultes, métaphysiques, philosophiques. L’Homme, c’est une grande oreille. Mais il devient une grande oreille, c’est-à-dire qu’il devient un Esprit qui participe à l’activité d’un autre Esprit dans la mesure où cet Esprit qui parle est transparent. Ce que l’Homme nouveau devra développer, c’est de la transparence.
Plus il y aura de la transparence, plus les Hommes pourront facilement écouter, entendre, s’intéresser, et pourront aller chercher de façon rapide des clés d’évolution, et eux-mêmes finalement dans leur propre travail, dans leur propre milieu, qu’ils soient psycholoques, médecins, n’importe quoi, pourront avancer, rencontrer d’autres personnes qui, eux aussi, dans la même vibration s’avancent. Mais le problème de la transparence à l’heure qu’il est, il est très important.
Pendant l’involution, nous allions vers des maîtres spirituels, vers des êtres qui avaient ou manifestaient une certaine transparence, donc nous les aimions ces êtres-là, mais nous devenions assujettis à leur présence. Ce n’était pas suffisant. Avec l’évolution de la race-racine, l’Homme sera totalement fondé sur sa propre identité, donc il n’y aura plus ce phénomène de maître et de disciple.
Donc la transparence devra être encore plus grande pour que l’Homme qui aura quelque chose à dire, l’Homme qui aura à instruire les masses de sa race, de sa nation, il faudra que cet Homme soit suffisamment transparent pour que d’autres puissent ne pas spiritualiser sa parole. Si celui qui parle est spirituel, à ce moment-là, même s’il a une grande transparence spirituelle, il ne pourra jamais permettre à ce que d’autres en arrivent à pouvoir utiliser leur propre parole parce que celui qui est spirituel a tendance à envoûter celui qui est spiritualisé.
Mais lorsque l’Homme aura une grande transparence égoïque, il ne pourra plus envoûter celui avec lequel il parle, donc la parole fera son chemin dans le monde, les Hommes iront chercher ce qu’ils peuvent aller chercher, et de là grandira leur propre conscience, et eux en arriveront à leur propre réalisation de ce potentiel interne qui fait partie de tous les Hommes. Et eux autres aussi dans leur domaine, qu’ils soient professeurs, qu’ils soient ci ou ça, ils pourront exercer une forme de créativité qui convient dans le temps où ils seront avec la conscience sociale.
Mais je dis que la conscience supramentale de l’Homme nouveau ne sera pas une conscience qui pourra être collectivée, ce qui est totalement contraire à l’involution. Pendant l’involution, tout ce qui est venu dans le monde à partir de la parole “transparence spirituelle” a été collectivée, donc c’est devenu soit des systèmes de philosophie collective ou soit des systèmes de religion collective. Tandis que l’Homme nouveau, lui, il sera totalement individualisé, il aura des relations avec des Hommes conscients, ainsi de suite.
Mais il n’y aura plus… ça n’existera plus ça, de convention sociale supramentale, il n’y en aura plus. Mais il y aura effectivement beaucoup de communication entre des Hommes travaillant dans différents domaines, mais il n’y aura plus de contestation parce que ces Hommes vivront simplement de la créativité de leur parole, de leur action., Ils ne vivront plus de la contemplation de la valeur de la parole ou de leur action.
J’invite… d’ailleurs je l’ai fait dernièrement, j’invite des psychologues par exemple, parce qu’il y a un grand besoin, il y a un grand besoin dans la province de Québec comme dans le monde, mais puisque je suis à Québec, il y a un grand besoin par exemple de récupérer des gens qui sont extrêmement sensibles et qui souffrent du phénomène des entités. D’ailleurs, dans mon second livre, je l’intitule : “Les entités – La maladie mentale”.
Les Hommes qui sont conditionnés, qui ont un bon job, qui vivent à l’intérieur de certaines valeurs catégoriques sont préservés de ceci en général, à moins de vivre des grands chocs où les centres psychiques s’ouvrent, ainsi de suite, où il y a possession à un certain niveau. Mais les jeunes aujourd’hui, depuis quelques années, ils sont victimes de certaines expériences sociales, la musique, cette musique rock, bon ! Ils vivent aussi l’expérience de la drogue. Et ces forces, ces énergies ouvrent les centres psychiques.
Donc si le type a moindrement de difficulté dans la vie, les centres s’ouvrent, la communication se fait avec d’autres plans, et les Hommes ne sont pas conscients de la réalité des entités. Les Hommes ne savent pas que quand quelqu’un meurt, il ne va pas nécessairement directement au plan astral, il peut être pris entre la matière et l’astral. Il peut rester là pendant… c’est ça le phénomène du “poltergeist”. Et ces entités sont capables d’utiliser les forces éthériques de l’individu, ces entités sont capables de le posséder au niveau de son corps matériel, donc la possession c’est un phénomène réel.
Et c’est pour ça que j’invite dernièrement des gens qui sont dans le domaine de l’éducation, psychologie, psychiatre, et ainsi de suite, d’avoir un certain discours avec moi pour que nous puissions ensemble, calmement, élaborer des stratégies thérapeutiques pour aider ces personnes-là. Au lieu de les envoyer en masse à vivre des thérapies pharmaceutiques qui sont nécessaires, qui font partie de la science d’aujourd’hui, mais qui très souvent les mènent à une incapacité de reprendre leur conscience créative. Ils deviennent légumes !
Donc la science fait de son mieux mais nous devons aller plus loin, nous devons aller plus loin, nous sommes à un stage aujourd’hui, nous sommes à un point aujourd’hui où nous devons créer une nouvelle révolution dans le domaine du mental un peu comme les psychanalystes au début du siècle ont fait, un peu comme Freud a fait. Regardez comme ce fut difficile pour Freud d’arriver dans le monde européen avec ses idées nouvelles !
Alors nous sommes dans la même situation aujourd’hui, avec cette différence que les gens qui sont occultes, comme moi ou d’autres, des gens qui vivent d’une conscience qui n’est pas simplement matérielle, ces gens-là n’ont pas à prouver intellectuellement la valeur de ce qu’il disent. Parce que nous ne sommes pas des intellectuels, nous sommes des hommes ou des femmes qui vivons d’une certaine conscience – qui, d’accord, pour le moment est extrêmement limitée en nombre – mais qui nous donne une centricité mentale totale.
Donc nous ne pouvons pas, nous ne cherchons pas à avoir l’accréditation sociale pour ce que nous disons. Mais puisque nous avons une parole qui pénètre avec le temps, nous voyons que beaucoup de gens sont intéressés à une façon de voir les choses qui est très ancienne mais qui est expliquée aujourd’hui à la lumière d’un mental qui n’est pas spiritualisé. Donc parmi ces gens, il y a des savants, il y a des médecins, il y a des psychologues, il y a des psychiatres, il y a des gens de tous les jours.
Et si nous en arrivons ici, surtout dans la province de Québec à pouvoir faire la liaison entre l’intelligence, l’intelligence occulte de la psychologie et la psychanalyse elle-même, nous créerons dans cette Province le premier centre de recherche d’étude de l’Homme et de l’aliénation mentale, détaché des outils purement physico-chimiques de la recherche. Donc nous serons capables, par exemple, de rencontrer des gens qui effectivement vivent une aliénation mentale, des gens qui sont sur le bord du suicide, des gens qui sont prêts à se suicider.
Et comme nous avons une voyance, comme nous sommes extrêmement médiumniques, nous pourrons amener des psychologues ou des psychiatres à comprendre ces techniques internes du mental créatif, pour désengager ces individus du phénomène de l’entité ou de la possession, et de les récupérer. Mais moi je ne peux pas récupérer tout le monde dans la ville ou dans la Province de Québec qui tenterait de vouloir se suicider ! Je ne peux pas ouvrir un bureau sur la rue Ste Catherine !
Donc j’ai besoin de personnes, de ressources humaines sensibles, pas trop orgueilleuses, des gens qui sont capables de percevoir qu’il y a quelque chose derrière la psychologie égoïque de l’Homme, derrière la psychanalyse contemporaine classique. Il y a des choses que nous devons regarder d’une façon objective et créative, sans fanfare, avec l’aide et l’apport de tous ces individus ; et moi je suis capable de répondre aux questions psychiatriques ou aux questions psychologiques.
Mais j’ai besoin de psychologues, de psychiatres, qui peuvent être intéressés à travailler dans une ambiance créative, où lorsqu’ils partent, ils ont finalement quelque chose de plus que la simple théorie de leurs écoles. Donc, à peu près… ensuite nous pouvons aller plus loin, et il peut se créer une balance entre l’académie qui étudie l’Homme et des individus qui connaissent l’Homme. Une fois que nous avons établi cette balance, cet équilibre entre l’académie qui étudie et des individus qui savent, nous avons un bel équilibre entre le cartésien et le créatif.
Donc à ce moment-là, nous serons en position peut-être plus tard, de créer des cliniques, soit au Québec ou dans d’autres pays, des cliniques qui pourront traiter de ces grands cas de schizophrénie qui doivent être suivis à long terme pour dégager le phénomène de l’entité ; ce que les Hommes doivent comprendre, surtout les médecins, les psychologues, les psychiatres, ils doivent comprendre que l’Homme pense qu’il pense !
Si l’Homme est inconscient et il pense qu’il pense, et il fonctionne à l’intérieur de ce cadre, c’est bien, mais l’Homme demain découvrira que ça va plus loin que ça le phénomène de la pensée. La phénoménologie de la pensée, c’est un phénomène de communication universelle et la qualité psychologique ou la valeur psychologique du JE et du TU est fondamentale à la restauration éventuelle chez l’Homme – dans la mesure où il comprend les lois du mental – à la restauration chez l’Homme de son identité qui a été perturbée pendant l’involution.
Donc à ce moment-là, nous aurons accès finalement à une psychologie créative, autrement dit les psychiatres, les psychologues, au lieu de se plaindre qu’ils sont arrivés à un mur, pourront aller au-delà du mur, et les individus pourront bénéficier finalement d‘une science créative fondée sur des principes de la vie mentale, qui sont absolus, qu’ils pourront par eux-mêmes vérifier.
Parce que je peux amener un psychologue ou un psychiatre à vérifier par lui-même la teneur du principe que l’Homme pense qu’il pense. Donc à ce moment-là nous aurons atteint ou créé dans la province de Québec… nous aurons fait un pas de géant dans le domaine de la psychologie.
FP: Pour enclencher ce processus créateur, est-ce qu’il ne faudrait pas nécessairement que les gens qui font partie de la corporation des psychologues ou les psychiatres, attitrés, diplômés etc., se débarrassent peut-être du syndrome de ce qu’on appelle de Salieri ; Salieri qui était jaloux quasiment de Mozart, c’était un professeur de musique Salieri, qui en était malade de jalousie de voir le talent du petit Mozart.
Est-ce qu’il n’y a pas ce phénomène-là auprès des gens qui sont diplômés, attitrés, reconnus par la société en fait, d’avoir une reconnaissance formelle du travail que vous faites, est-ce qu’il y a déjà des psychologues qui vous ont approché, qui ont eu le courage de dépasser l’éthique professionnelle pour venir vous voir sachant qu’ils pouvaient repartir avec quelque chose ?
BdM : Oui, ce qui se produit en général, c’est lorsque des psychologues ou des professionnels m’approchent, déjà ce sont des êtres sensibles. Dans tous les collèges, dans toutes les associations, dans tous les groupements scientifisés, il y a toujours des êtres qui sont plus sensibles que d’autres. Il faut reconnaître une chose. La science aujourd’hui, la science depuis deux, trois siècles, elle a bâti son crédit sur l’empirisme, sur le pragmatisme.
Autrement dit, elle a travaillé à défoncer les murs de la superstition, elle a essayé de créer une objectivité scientifique afin d’amener l’Homme de plus en plus près d’une sorte de réalité objective du phénomène. Sur le plan de la matière ça va très bien, elle peut le faire. Sur plan de l’Esprit c’est une autre chose. Pour que l’Homme en arrive à pouvoir objectiver le réel du mental ou de l’astral, il faut qu’il soit donné les clés de cette réalité.
Autrement dit, il faut qu’il soit instruit par des Hommes qui travaillent dans ce domaine-là. Si les scientifiques sont suffisamment sensibles… les scientifiques ne sont pas tous des êtres bornés, ce sont des grandes âmes, ce sont des êtres sensibles, mais ils ont été tellement entraînés dans le développement d’une raison objective et ils ont vu tellement de charlatanisme, ils ont vu tellement…
Je vais vous dire une chose, les êtres qui sont occultes, médiumniques, psychiques, toute cette salade de poissons-là, qui se promènent dans les eaux de la planète, des nations, des cultures, à partir des simples Africains jusqu’aux civilisations les plus complexes comme les Californiens, il y a eu tellement, tellement de coloration dans toutes ces doctrines, ces idées, que c’est normal, c’est bon, c’est bien et c’est essentiel que la science, disons les médecins, les psychologues, les psychiatres, contiennent ceci, pour que la population soit protégée contre des personnes de notre acabit. Vous comprenez ?
Mais de là à élever un mur de Berlin autour d’eux, là c’est plus pareil ! Et je sais qu’il y a des scientifiques dans différents domaines, nous le savons, qui sont intéressés à ces sciences. Mais il y a eu tellement de pollution, que même moi il y a plusieurs années je le disais, je disais : l’ésotérisme, l’occultisme et tout ça, il faut que ça soit totalement épuré, mis à terre, parce que ce sont des sciences qui ont été envoyées à l’Homme, intuitées par l’Homme, spiritualisées par l’Homme, occultées par l’Homme, pour que l’Homme perçoive, sente une sorte de pouvoir, une sorte de spiritualisation.
Il y a eu une coloration des sciences occultes, c’est absolument phénoménal, d’ailleurs c’est pour ça qu’il n’y a aucune science occulte dans le monde qui peut être “superimposée” parce que c’est toujours de la contradiction, pourquoi ? Parce que les Hommes ont toujours travaillé avec l’astral. Toujours ! Les Hommes, les médiums, les psychiques, les gens qui reçoivent des communications ont toujours travaillé avec l’astral.
Et l’astral a le pouvoir sur la Terre ; la planète Terre, la planète matérielle appartient à l’astral, elle appartient au monde de la mort, et ce n’est pas l’astral qui va donner à l’Homme le savoir, ce n’est pas l’astral qui va s’enlever le pouvoir qu’il a sur l’humanité. Donc les Hommes, les médiums, les psychiques, les sensibles, dans tous les pays, devront un jour réaliser qu’ils seront obligés de dépasser la qualité obscure et occulte de leur mental astralisé pour rentrer dans leur propre énergie.
Ensuite, là, ils pourront parler aux morts, dicter aux morts, et expliquer aux morts ce qui se passe sur le plan matériel ; ensuite ils pourront couper les liens entre les entités et le plan matériel, ils pourront libérer les individus sensibles qui sont incapables de comprendre le phénomène de l’entité. Moi, j’ai des cas toutes les semaines de personnes qui sont prisonnières de ces forces depuis des années.
Il y a des gens qui sont prisonniers d’entités depuis dix ans, quinze ans, vingt ans, qui sont prêts à se couper la gorge, ils ne sont plus capables… vous avez des parents qui ont des enfants qui ont des problèmes d’entités, et les parents voudraient les envoyer rencontrer des spécialistes mais d’un autre côté ne veulent pas que leurs enfants deviennent trop végétatifs avec la pharmacologie, que les spécialistes sont obligés d’utiliser pour faire un travail, ainsi de suite.
Donc vous avez le spécialiste qui, d’un côté, travaille, vous avez le parent d’un autre côté qui veille à ce que l’enfant puisse recouvrir ses sens, ainsi de suite, et ensuite on me donne un coup de fil. Je ne peux pas me promener à gauche et à droite et récupérer les schizophréniques ou récupérer ceux qui ont des tendances suicidaires, je me brûlerais.
Donc il faut que quelque part dans le temps, quand bien même ça prendrait dix ans ou quinze ans, c’est sans importance, mais qu’il y ait des gens qui ont une fondation académique, des gens qui appartiennent, qui sont gradués des universités, des gens qui ont des consciences bien équilibrées, mais aussi une capacité d’aller plus loin que le règne de la connaissance cartésienne pour peut-être approcher, parler avec des individus comme moi ou peut-être comme d’autres, pour voir jusqu’à quel point ça va le phénomène de l’ego déséquilibré, le phénomène de l’entité qui possède l’Homme et qui lui fait entendre des voix.
Les psychologues savent que les gens entendent des voix mais dire que l’on entend des voix et que c’est une hallucination, ce n’est pas suffisant parce que le gars qui entend des voix, c’est pas une hallucination, le gars qui est astralisé et qui voit un cheval dans son salon, c’est pas une hallucination, autrement dit ce sont des projections astrales sur le plan matériel qui déséquilibrent totalement l’être, ainsi de suite.
Donc si nous prenons le phénomène de la drogue, le phénomène de cette musique maudite, comment vous appelez ça… le phénomène métallique, la musique métallique, le “pot” (Marijuana – cannabis), tout ça, toutes les pressions psychiques de la société, tout ce qui se passe aujourd’hui, l’Homme est un objet de proie à toutes ces forces astrales qui entrent.
Donc il faut que les sciences de l’Esprit, je ne veux même plus appeler ça les sciences occultes parce que je déteste ce mot, mais il faut que les sciences de l’Esprit, la science de l’Esprit de l’Homme, la science de l’âme, la science de la mort, la science de l’intelligence, la science de l’ego, la science du JE, la science du TU, il faut que cette science soit utilisée par des gens qui sont formés d’une façon sévère, d’une façon catégorique, d’une façon intelligente, pour qu’avec le temps, peut-être des cliniques qui deviendront peut-être des Universités ou qui peut-être demain deviendront greffées à des Universités, puissent devenir utiles, et pour que des scientifiques dans le monde viennent voir qu’est-ce qui se passe dans ce phénomène-là, dans ces cliniques-là !
Mais il faut absolument protéger les masses parce que j’ai tellement d’expérience dans le domaine occulte, je suis né de l’occulte, donc j’ai tellement d’expérience dans ce domaine que je sais que nous ne pouvons pas laisser le moindre espace à la manifestation ou la manipulation psychique de certains médiums qui travaillent avec les Hommes.
Je passe mon temps à réprimander des médiums, on dirait que je passe ma vie à réprimander des sensitifs, je dis : “Faites attention à ça, faites attention à ça, faites attention”, ils ne le voient pas, et ce n’est pas qu’ils n’ont pas de bonne volonté, c’est qu’ils ne le voient pas donc c’est un travail de longue haleine. C’est pour ça que moi personnellement, si vous me demandez si je suis intéressé à ce que je fais, je vais vous dire : “Je fais ce que je fais parce que j’ai la capacité de le faire” mais ce n’est pas moi qui puisse supporter tout ce déchaînement d’énergie qui vient aujourd’hui vers la conscience humaine.
Ce sont les Hommes qui, graduellement, selon leur propre sensibilité, selon leur propre ouverture d’esprit, en fonction de leur équilibre et en fonction de certains principes fondamentaux et absolus de cette conscience nouvelle, qui pourront bénéficier de cette ouverture d’esprit et qui pourront, demain, aider les Hommes qui deviendront de plus en plus assiégés psychiquement dans la société. Vous savez, aujourd’hui aux États Unis, il n’y a plus de place dans les hôpitaux, et les grands phénomènes de la fin du cycle ne sont pas encore arrivés.
Vous avez Los Angeles qui a tremblé hier, et Los Angeles va trembler beaucoup plus que ceci, ceci fait partie déjà des prophéties de Cayce, de Nostradamus, ainsi de suite. Donc il y a des Hommes sur le plan matériel qui ont une conscience de l’avenir mais ce sont des Hommes qui n’ont pas de pouvoir, nous ne sommes pas… Si moi j’étais psychiatre, si j’étais attitré comme psychiatre, je n’aurais pas pu vivre l’expérience que j’ai vécue, j’aurais été forcé de fonder une autre psychiatrie, marginale, ainsi de suite.
Donc comme je ne travaille pas réellement dans le domaine académique humain, je travaille dans le domaine occulte de l’Homme, ceci m’a été enlevé, mais j’aurais aimé être psychiatre, j’aurais été un psychiatre extraordinaire ou même un psychologue extraordinaire ou un professeur à l’école extraordinaire, ou même un plombier extraordinaire. Donc j’ai été coupé de vivre ma vie, j’ai été coupé de vivre ma vie mentale parmi l’Homme de la société pour travailler avec des êtres qui font partie d’autres dimensions, afin de ramener sur le plan matériel de la conscience sociale, des sciences qui ne se pensent pas.
Mais nous avons besoin, au cours des années, des êtres… et tu ne peux pas aller dans le monde et dire : “Bon toi tu vas travailler avec moi, toi tu vas travailler avec moi”, le temps ou nous sommes des pécheurs d’Hommes c’est fini ! Donc à ce moment-là, il y a des Hommes dans le monde qui ont une sensibilité, dont les centres s’ouvrent, des Hommes qui, eux-mêmes, ont vécu leur propre recherche, leur propre évolution pendant des années de temps.
Ils sont prêts, ces Hommes, à entrer en contact avec d’autres Hommes pour que se crée finalement une sorte de brèche dans le mur de la pensée cartésienne, afin de donner de l’esprit à la science, et de permettre que la science au moins pour le moment, sur le plan psychologique, puisse entreprendre une recherche profonde en ce qui concerne la dynamique créative de l’Homme et le mystère de l’être humain. Après ça, nous pourrons aller au niveau de la science mécaniste, au niveau du nucléaire, du biologique, ainsi de suite.
Mais nous devons travailler sur le plan de l’Esprit parce que si l’Homme perd son Esprit, il va perdre tout le reste. Donc la science la plus importante dans le monde aujourd’hui, c’est la science de la psychologie. Mais une science de l’Esprit, et non pas simplement une théorie plus ou moins réelle des mécanismes psychologiques de l’ego.
Si vous regardez Freud, si vous regardez Jung, si vous regardez les gens qui ont travaillé et qui ont apporté à la psychologie une certaine définition, chacun a une parcelle de la vérité. Mais demain, nous comprendrons que nous devons aller au-delà de la vérité, au-delà du vrai, du faux, pour entrer dans une conscience créative qui est capable de regarder l’aspect Freud, l’aspect Rogers, l’aspect ça et ça, et dire : “Ça c’est ça – ça c’est ça – ça c’est ça”.
Et au dessus de ça, il y a une science de la psychologie qui est la psychologie supramentale qui englobe tout ceci et qui peut canaliser de l’information vers cette forme, vers cette forme, vers cette forme, afin de neutraliser le phénomène écologique du mental, c’est-à-dire le phénomène des écoles psychologiques, où nous les Hommes, les masses, les individus qui, finalement, veulent avoir une réponse à une problématique, nous partons sur une… (Coupure enregistrement)…
(Reprise en cours d’enregistrement) (…) deux ans plus tard c’est la mort de ceci, on avance ceci, on renie cela ! C’est ce qui se passe en Californie, c’est pour ça qu’en Californie, les gens sont totalement désengagés de l’Esprit, ils sont totalement astralisés, pourquoi ? Parce que dans un temps c’est une chose, dans un autre temps, c’est une autre chose, un autre temps c’est une autre chose !
Donc nous avons besoin, et nous sommes parfaitement placés dans la Province de Québec pour amener vers ces localités, ces nations, ces peuples, des idées qui ne sont plus réflectives, une science où les psychologues ont toujours voulu avoir une science de la psychologie, une science de l’Homme, une science… la psychologie aura la science de la psychologie mais elle aura la science de la psychologie à partir du moment où les psychologues cesseront ou perdront l’habitude, ou le désir de vouloir faire de la psychologie une science. Vous comprenez ?
FP : Désimpliqués au niveau égoïque ?
BdM : Mais oui, désimpliqués au niveau égoïque, effectivement désimpliqués au niveau égoïque. À partir du moment où les psychanalystes voudront se désimpliquer au niveau égoïque et laisser passer en eux des intuitions qu’ils ont peut-être camouflées eux-mêmes, qu’ils ont mis de côté parce que les collègues n’aimeront pas ça, et se laisser réellement baignés de façon intelligente et créative, et avancer dans ce processus extraordinaire de la conscience supramentale créative de l’Homme, la psychologie éclatera, la psychologie deviendra tellement créative qu’éventuellement, probablement, la psychiatrie ne sera plus nécessaire.
Le jour où la psychiatrie ne sera plus nécessaire, c’est que la psychologie aura pris sa place dans l’étude de l’Homme. La psychiatrie, elle est devenue nécessaire parce que nous vivons dans un siècle de technologie, nous vivons dans un siècle où nous utilisons la matière pour travailler avec des aspects subtils du cerveau, mais nous n’avons pas compris que l’infrastructure – les sous-plans de l’activité psychique de l’Homme – ne fait pas partie de la physico-chimie, ne fait pas partie du matériel, ne fait pas partie de la matière.
Ça fait partie de ce qu’on appelle les plans astraux qui sont une dimension inférieure de l’Esprit. Ces plans peuvent être contrôlés, ces plans peuvent être arrêtés, ces plans peuvent être neutralisés, et il peut être redonné à l’Homme sa liberté créative. Donc il peut cesser d’être schizophrénique, il peut cesser d’être paranoïaque, il peut cesser de vivre la possession, cesser d’être ci, d’être ça, dans la mesure où nous, en tant que psychologues, en tant qu’Hommes de science, nous sommes prêts à faire le grand saut, le grand pas.
Nous ne pouvons pas nous cloisonner comme les Chinois ont fait pendant des siècles, il nous faut nous ouvrir, il nous faut nous ouvrir au monde des idées, et je suis d’accord et je conçois que les idées, en tout cas les miennes, ne sont pas faciles à prendre, mais je suis aussi d’accord que les idées qui, pour le moment, sont dans un grand cadre – les miennes – sont des idées qui ne sont pas colorées. Il n’y a pas un Homme sur le plan matériel qui puisse maintenir sa sanité et parler autant que je parle à la fois.
Donc il y a un phénomène chez l’Homme et ce phénomène-là n’est pas le mien, il fait partie de l’Homme, mais l’Homme ne s’est pas donné la chance, on n’a pas donné à l’Homme les outils pour découvrir sa chance. Donc vous avez votre propre expérience, il y a quelques semaines, de la subtilité de la psychologie, c’est que cette psychologie supramentale consciente peut faire que nous ne pouvons pas faire, nous. Nous ne pouvons pas penser des réponses comme ça.
Nous avons besoin d’être informés à partir de plans qui sont les nôtres, mais qui font partie d’autres dimensions, que nous en tant qu’ego pensant, sommes obligés éventuellement de réaliser comme étant réels, comme faisant partie de la réalité de l’Homme, que nous avons été pendant des siècles poussés à chercher et à trouver à travers le monde de la philosophie, de la science, de la spiritualité, des religions, de l’occultisme, de l’ésotérisme.
Nous devons aller plus loin que toutes ces formes, nous devrons aller complètement dans le domaine mental de l’Homme, où il lui est donné l’impression que c’est lui qui pense. Lorsque l’Homme aura dépassé l’impression que c’est lui qui pense, les circuits universels dans sa conscience s’ouvriront. Et à ce moment-là, certains qui seront capables de supporter cette connexion vivront la communication télépathique.
Donc au lieu que Jean-Paul se dise le matin : “Ah ! Le patron va se casser la jambe l’après midi, je vais sortir du bureau à deux heures”, Jean-Paul se fera dire : “Ah ! Jean-Paul, le patron va se casser la jambe et TU vas sortir”. Donc ça deviendra de la communication télépathique. Jean-Paul s’habituera avec le temps à ceci, donc l’Homme développera une voyance, mais une voyance qui ne sera pas colorée, une voyance qui ne viendra pas de l’astral…
Une voyance qui ne viendra pas du monde des morts qui jouent et qui continuent à jouer avec l’humanité, comme ils ont fait depuis des millénaires, mais une voyance qui sera le produit de l’intervention directe dans le mental supérieur de l’Homme de sa propre lumière. Donc l’Homme sera réellement lui-même ; savoir l’avenir de l’Homme, regarder quelqu’un dans les yeux, connaître sa réalité, connaître ses problèmes, ça fera partie de sa réalité. L’Homme nouveau, l’Homme de la sixième race-racine, il saura.
Il ne saura pas comme nous croyons parce que nous projetons ce qu’un Homme ou comment un Homme peut savoir, mais il saura et il saura sur le plan des évènements, il saura sur le plan de la politique mondiale, il saura sur le plan de l’humanité, de l’évolution de la race, de l’évolution de la cinquième race. Il saura sur le plan de ceux qui sont près de lui, il saura parce que savoir, ça fait partie de la quantité totale de l’Homme, c’est normal de savoir. Ne pas savoir, l’ignorance involutive c’est une anormalité que, naturellement, on a rendu “sanctimonieuse” et à laquelle on a donné des diplômes.
FP : En parlant de diplômes…
BdM : Mais il ne faut pas rejeter les diplômes, il ne faut pas flageller l’Homme de l’involution, nous devons respecter les scientifiques qui travaillent parce que les scientifiques qui travaillent, travaillent avec une forme d’idéalisme. S’ils n’avaient pas cet idéalisme, ils ne seraient pas de bons scientifiques. Donc les médecins, les psychologues, les psychiatres, ceux qui travaillent dans la technologie, ils ont une forme d’idéalisme. Un jour, ils iront plus loin que ceci, ils entreront réellement dans une autre dimension du mental, ils ne seront plus idéalistes mais ils seront extrêmement intelligents de l’avenir.
Donc le scientifique qui travaille dans le nucléaire, celui qui travaille dans la génétique, celui qui fait de la “biological engineering” (ingénierie biologique), il connaîtra les conséquences de la science, de la “biological engineering”, dans une race qui n’a pas conscience des évènements, qui n’a pas conscience des lois de la conséquence. Donc il comprendra le danger de telle chose, si telle chose vient dans le monde et que ce n’est pas partagé par les Hommes de bonne volonté qui sont intelligents, non pas simplement par des Hommes de bonne volonté qui sont spirituels, parce que des Hommes de bonne volonté qui sont spirituels, la planète en est pleine.
Mais des Hommes de bonne volonté, de grande volonté, de puissante volonté qui sont intelligents, il n’y en a pas beaucoup. Et lorsqu’il y aura de plus en plus de ces Hommes dans différents domaines, science… à tous les niveaux, nous aurons une très grande civilisation. D’ici à ce temps-là, nous avons à faire attention, parce que ce que nous avons déclenché sur la planète, nous serons obligés de le revivre, ça fait partie des lois universelles, ça fait partie des lois cosmiques.
Ça fait partie des lois de la vie, de la mort, ça fait partie des lois de l’âme, mais ça ne fait pas partie de la conscience supramentale de l’Homme nouveau. L’Homme nouveau ne sera aucunement touché par des évènements karmiques de la planète. Quand je parle de l’Homme nouveau, je parle de l’Homme conscient, l’Homme dans sa conscience, l’Homme qui vit de sa propre énergie, de sa propre lumière, de sa propre identité, il ne vivra pas ceci.
FP : Comment voyez-vous les recherches en neurochirurgie, où on recherche une cause chimique aux problèmes, ou une intervention sur la chimie du cerveau pour régler des problèmes ou des cas de schizophrénie ?
BdM : Ça fait partie de l’expérience karmique de la science présente, ça fait partie des niveaux de la science présente. Demain, lorsque la science sera sur la Terre, nous ne travaillerons plus avec le matériel, tout se fera avec de l’énergie. Un corps humain peut être reconstitué intégralement à partir de l’énergie. Un corps peut être mort et être reconstitué par l’énergie. Un organe peut être en totale défaillance et être reconstitué par l’énergie.
Vous savez qu’est-ce que c’est de l’énergie ? De l’énergie, c’est une forme d’intelligence qui n’est pas présente dans la matière, c’est une énergie qui fait partie d’une autre dimension et qui, lorsqu’elle entre en contact avec la matière, la pulvérise. C’est à dire lui lui enlève la mémoire de son propre espace-temps et la remplace par un autre espace-temps. Et lorsque la matière est remplacée par un autre espace-temps, elle perd son lien karmique, donc elle perd la responsabilité involutive de sa naissance.
Et c’est pour ça, il y a des intelligences, il y a des êtres qui viennent d’autres parties de la galaxie qui travaillent avec cette énergie. Nous avons vu par exemple dans des cas spéciaux, des saints ou des êtres très mystiques travailler avec cette énergie. Cette énergie ne fait pas partie de l’espace-temps matériel de l’Homme, elle fait partie d’une autre dimension.
Et l’Homme travaillera avec des forces d’autres dimensions encore plus loin, l’Homme fera des choses absolument extraordinaires. Nous, sur le plan de la science aujourd’hui, nous avons… si vous me demandez : “Quelle est la valeur de la science aujourd’hui”… je vous dirai que la valeur de la science a été d’arracher l’Homme de la la misère matérielle de la vie matérielle. Mais si la science va trop loin parce qu’elle manque d’intelligence, elle replongera l’Homme, mais ce ne sera pas dans la misère de la vie matérielle, ça sera dans l’enfer de la vie matérielle.
Donc vous allez dire : “Est-ce qu’on peut faire des choses, est-ce que nous pouvons changer des choses”… ? Et je ne vous répondrai pas, parce que je ne parle pas de l’avenir. Mais je peux vous assurer que l’humanité a à vivre de grands mouvements, de grandes choses, mais l’Homme conscient lui aussi, a à vivre de grandes choses. Et ce qu’il a à vivre d’abord, c’est la reprise de sa conscience. L’Homme doit revenir, redevenir conscient. il doit redevenir libre de la mort.
Il doit redevenir libre de savoir pour finalement élever son taux vibratoire, entrer en communication avec d’autres niveaux d’intelligence, et participer à ce mouvement naturel créatif de l’évolution qui sera l’immortalité de la chair avec l’évolution, avec le temps. Mais il y a un temps, il faut que l’Homme soit préparé, il faut que l’Homme soit ajusté au niveau de ses corps. Tout est énergie. L’impossibilité n’existe pas, elle n’existe que dans la façon que l’Homme pense.
Mais en attendant, si nous pouvons faire des choses pour aider l’Homme sur le plan de la psychologie… je ne suis pas intéressé à travailler sur le plan de la science mais je suis intéressé pour le moment à travailler sur le plan de la psychologie, et faire comprendre, connaître à des psychologues sensibles comment ça fonctionne l’ego, comment votre ego à vous en tant que psychologue fonctionne ; moi je peux parler avec un psychologue ou un psychiatre, et lui expliquer tous ses problèmes.
Alors il va voir que si quelqu’un le connaît : “Comment se fait-il que moi je le connais”… Je ne suis pas allé chez Eaton chercher ceci. Ça vient de quelque chose, ça vient de quelque part, donc ça ne vient pas de l’ego, ça vient d’une autre dimension de l’Homme. Donc tous les Hommes, le psychologue, le psychiatre a aussi accès à cette dimension.
Nous pourrons donner à la Province de Québec son premier fleuron, c’est-à-dire cette première capacité, finalement, en tant que nation, de se dessiner dans le monde, dans le ciel de la science, une place privilégiée pour les générations à venir. C’est sur le plan de la science, de la psychologie, que nous pouvons faire quelque chose de grand, mais nous devons être réellement prêts à affronter une science neuve, une science qui dépasse l’entendement, l’imagination.
Nous devons être prêts à nous libérer de ce qui est mémoriel, mais nous devons garder les formes, les structures, pour que cette science puisse être absorbée dans des structures. Moi, je n’ai pas de structures, mais le psychologue, le psychiatre, le médecin, il a une structure, il peut prendre une science et lui donner de la vie, ainsi de suite. Mais tout ceci fait partie de l’évolution. Et moi je vous assure une chose, je suis le moins pressé des Hommes.
FP : On vous comprend, je viens de voir dans une librairie en vitrine un livre sur la psychanalyse qui portait le titre : Le triomphe de la psychanalyse, ça veut dire qu’il y a du chemin à faire ?
BdM : Le triomphe de la psychanalyse ?
FP : Oui. Si déjà un livre porte ce titre-là, ça veut dire qu’il se tire sur les bretelles effectivement ?
BdM : Ben oui, mais c’est normal, il faut qu’on se tire sur les bretelles pour savoir qu’on a des culottes (rires du public). Mais il faut donner à ceux qui ont fait des pas dans le domaine de la science, ce qu’ils ont fait, il faut le faire… Autrement dit, je vous le remets d’une autre façon. Si moi je n’avais pas vécu mon expérience en 69, je serais exactement le même technicien de la connaissance, diplômé, doctorat, que les Hommes dans le monde !
Donc moi je vis, à cause de mon expérience, une position privilégiée dans le temps, mais je n’ai aucun privilège, j’ai n’ai aucun mérite, l’Homme de science a plus de mérite que moi, celui qui travaille, le psychanalyste, le psychiatre, le médecin, le scientifique, a beaucoup plus de mérite que moi parce qu’il a été obligé de travailler pendant des années pour avoir l’impression d’avancer.
Tandis que dans mon cas, j’ai vécu une expérience dans un instantané qui m’a bouleversé, ça m’a pris des années pour m’ajuster, mais je n’ai pas de mérite. S’il y a un mérite c’est au niveau de mon Esprit, c’est au niveau de mon évolution en dehors du monde matériel, mais ce n’est pas sur le plan matériel. Au contraire, sur le plan matériel j’ai souffert énormément, je n’ai pas fait d’effort ; si on pouvait parler de mérite dans mon expérience, c’est que j’ai énormément souffert pour connaître toutes les convolutions de la psychologie humaine.
Mais l’Homme de science, on doit le respecter et on doit se rapprocher de lui, on doit faciliter notre contact avec lui. On ne peut pas lui demander de s’approcher de nous à moins qu’il ait une vibration spéciale, à moins que la vie le ramène à nous ; parce qu’il vit dans des cadres à l’intérieur de certaines catégories qui font partie justement de son expertise, donc il doit être respecté, la science doit être respectée. Mais aussi l’autre science qui vient doit être réalisée.
Parce que l’autre science qui vient va être absolument triomphale, l’autre science qui vient va âtre tellement déchirante, déchaînante, nous n’avons pas commencé à parler ! Nous n’avons pas parlé de la genèse du réel, nous commençons à parler de la genèse du réel, nous travaillons sur le plan du mental, de l’Esprit, de la mémoire de l’âme. Demain nous parlerons de la génétique, demain nous parlerons de l’atome.
Donc la genèse du réel va devenir de plus en plus une force créative sur la planète, et des scientifiques vont se raccorder à cette genèse, parce que déjà ces scientifiques existent. Ils font déjà partie d’une organisation mondiale. Mais en attendant nous devons respecter les étapes de la science cartésienne et nous devons être suffisamment intelligents et pragmatiques pour réaliser qu’aujourd’hui la science cartésienne protège les masses en attendant que la science réelle élève la science cartésienne.
FP : En parlant de genèse, génétique, il est intéressant de voir que l’être humain se perpétue sans quasiment aucune intervention de sa part. Je veux dire, quand une femme met un enfant au monde, son action personnelle est totalement limitée, tout se passe quasiment à son insu et parfaitement. Et je voudrais savoir… on parle souvent de l’Esprit mais on n’a jamais parlé de l’Esprit de la nature, quel est cet aspect-là de l’Esprit qui est au travail dans la genèse d’un être humain ?
BdM : Dans la genèse de l’être humain, ou dans la genèse de la matière, dans la genèse de la plante, dans la genèse du moléculaire, il y a toujours des forces actives qui font partie des sous-plans de la matière. Les sous-plans de la matière sont d’autres dimensions où la volumétrie spatiale n’existe pas. Nous sur le plan matériel, nous avons de la volumétrie spatiale, nous avons de la hauteur, de la largeur, de la longueur, nous avons du poids ; ces aspects font partie de la nature réflective de la conscience, et aussi fait partie de l’explosion génétique de la matière.
Mais sur les autres plans, ces aspects qui font partie du matériel n’existent pas parce que les autres plans ne sont pas matériels, donc sur les autres plans, la hauteur n’existe pas, la largeur n’existe pas, la longueur n’existe pas, le poids n’existe pas réellement comme le nôtre. Il existe à d’autres niveaux mais il n’existe pas réellement comme le nôtre.
Donc il y a des dimensions où… ce que nous appelons le monde de l’Esprit est extrêmement actif à formuler des courants d’énergie, ce sont des courants d’énergie qui, en contact avec la matière, va la faire exploser. Si vous regardez un embryon, si vous regardez tout ce qui est embryonnaire, il y a déjà dans l’embryon la totale composante en potentiel de ce que la forme sur les sous-plans est en train, au niveau de l’énergie, de manifester.
Vous regardez un être humain embryonnaire… l’imagination humaine n’est pas capable de saisir qu’un jour ce bonhomme-la sera un scientifique qui fera des choses absolument extraordinaires. Pourquoi ? Parce que tout est caché dans le secret de la division des cellules. Mais qu’est-ce que c’est la division des cellules vue du point de vue l’Esprit ? Qu’est-ce que c’est une cellule vue du point de vue de l’Esprit ?
Une cellule vue du point de vue de l’Esprit, c’est une combinaison à la fois de ce qu’on peut appeler les forces vitales stationnaires et les forces vitales matérielles. Les forces vitales stationnaires, ce sont des forces qui ont la puissance créative, c’est-à-dire que ce sont des forces qui sont capables de modeler dans un autre monde parallèle au monde matériel, une forme exactement semblable à celle qui existe sur le plan matériel.
Ce sont des forces qui sont capables de se jumeler parfaitement à des formes qui existent sur le plan matériel. D’ailleurs, c’est ce qui explique l’évolution génétique des races et des civilisations. Donc ces forces, elles sont vibrantes, et comme elles sont capables de se jumeler à la forme matérielle, elles entrent en sympathie vibratoire avec elle. En entrant en sympathie vibratoire avec elle, elles la font vibrer. En la faisant vibrer, elles donnent à la physicalité et à la chimie de cette cellule matérielle, de l’Esprit. C’est-à-dire un peu de rayonnement de leur énergie.
FP : OK. Est-ce qu’il y a un parallèle à faire avec une découverte récente ? On a toujours pensé que dans la phase qui précède la fécondation chez la femme, que c’était le spermatozoïde, en fait, qui décidait du choix. Autrement dit : “premier arrivé, premier servi” et aujourd’hui on s’aperçoit qu’un ovule s’est entouré d’une espèce de gelée dans laquelle tous les spermatozoïdes se ruent la tête la première. Mais que ce n’est pas le spermatozoïde qui sélectionne l’ovule, ça ne dépend pas de sa vélocité, mais que c’est l’ovule qui vibratoirement…
BdM : Qui laisse entrer…
FP : Qui crée un cône, une ouverture, qu’il a choisi, donc le spermatozoïde élu par l’ovule…
BdM : Oui oui, c’est ça, c’est pour empêcher que l’être humain soit le produit d’une statistique, autrement dit sur les autres plans, une âme doit venir dans la matière. Il y a dans la totalité de la réunion de l’ovule et des spermatozoïdes, il y a énormément de possibilités. Et à un certain moment, lorsque l’âme, elle est prête à rentrer dans la matière, l’ovule fonctionne et l’absorbe, c’est fait. Donc on ne peut pas dire que l’être humain est le produit accidentel de la naissance. C’est beau la nature ! Mais nous, nous voyons…
FP : Il y a un choix vibratoire ?
BdM : Il y a un choix vibratoire, et la vibration part des autres plans, elle fait vibrer l’ovule, et c’est l’ovule à ce moment-là qui absorbe. Donc tout part des autres plans. Il n’y a pas un spermatozoïde… à moins qu’on l’implante directement, à ce moment-là, là on entre sous une autre loi. Si on fait nous-mêmes la mécanique… et si vous saviez ce que ça fait de l’autre côté, vous seriez surpris, j’en parlerai un jour…
Mais nous respectons les lois de la nature, l’ovule on la fait vibrer de l’autre côté, il absorbe, autrement dit, tu as le bébé que tu devrais avoir. Sinon, si nous interférons, ce qui se produit maintenant – parce que la science fait de la recherche, nous voulons découvrir les mécanismes – à ce moment-là nous risquons d’avoir des enfants qui ne conviennent pas parfaitement à notre vibration.
Nous risquons d’avoir des enfants qui sont totalement étrangers à notre vibration. Lorsque nous avons des enfants qui sont trop étrangers à notre vibration, nous avons beaucoup de difficulté à les bien élever, parce qu’il n’y a pas de sympathie vibratoire. Ça ne se raccorde plus, donc ça va très loin. C’est pour ça que quand je parle des conséquences de la science…
Si moi j’étais scientifique aujourd’hui, et que j’étais dans un labo, admettons que je travaillerais, je ne sais pas moi, sur le nucléaire, et que le patron me disait : “Bon il faut faire telle bébelle” (truc), et que le patron ne me connaissait pas, je serais obligé d’aller intérieurement et de dire : “Cette bébelle, elle est bien”… ? Et si on me répond : “Non”, je serais obligé d’arrêter.
Le patron me dirait : “Je t’ai dit de faire la bébelle”, je serais obligé de lui dire : “Je ne fais pas la bébelle” ! Je serais obligé de perdre mon job. C’est pour ça que des hommes comme moi ne peuvent pas travailler dans le monde parce qu’on perdrait constamment notre job ! (rires du public). Vous comprenez ?
FP : J’en reviens à la fécondation artificielle là parce que la question m’était posée tout à l’heure à la pause, on me disait : Si Bernard de Montréal est un phénomène unique, un cas d’espèce dans son genre, pourquoi est-ce qu’on n’envisagerait pas…
BdM : Pourquoi, pourquoi ce phénomène unique ? Pourquoi toujours ce phénomène unique ? Vous aussi, vous êtes un phénomène unique, elle aussi elle est un phénomène unique, moi je suis peut-être un phénomène unique dans le sens que je suis plus comique, dans mon “uniticité”, je suis comique ! Moi je suis d’accord de dire que je suis comique parce que je joue avec la forme, je défais la forme…
FP : Ça, ça fait partie du bal masqué…
BdM : C’est le comique, ça !
FP : Mais je parle de la particularité de votre intelligence, et la question qui était posée…
BdM : La particularité de l’intelligence à travers ma personne fait que je suis unique, c’est pas pareil. Ma particularité, ma capacité de vibrer à une certaine vibration fait que je suis unique, ça je vous l’accorde. Mais si vous dites : “Bernard de Montréal est unique”, à ce moment-là vous donnez à la masse l’impression d’un bonhomme qui est unique, et ça, c’est pas bon !
FP : Ça fait qu’il y a beaucoup de “Bernard de Montréal” mais on en connaît un seul !
BdM : Il y a beaucoup de “Bernard de Montréal” mais on en connaît un seul, voilà ! Mais faites attention parce qu’ensuite, on va parler de duplicité, on va parler de… Autrement dit l’Homme est unique. Quand l’Homme deviendra conscient… vous êtes plus unique aujourd’hui que vous ne l’étiez voilà quinze ans, plus l’Homme devient conscient, plus il est unique. C’est évident, c’est normal. Mais il faut faire attention à ça parce qu’on a tendance à créer des personnages, et aussitôt qu’on me crée un personnage, je suis obligé de le détruire, je n’ai pas de choix.
FP : C’est bien pour ça que je dis : Pas les créer, sachant que vous allez les défaire (rires du public), mais j’en reviens à la question, on veut savoir si on peut faire d’autres “Bernard de Montréal”, par reproduction artificielle, fécondation artificielle, autrement dit en prenant un spermatozoïde de Bernard de Montréal, et en fécondant une jolie femme, est-ce que l’enfant de cette jolie femme, son enfant va avoir sa beauté et votre intelligence ? (rires du public). Ce qui pourrait arriver pire, c’est qu’il ait votre beauté et l’intelligence de la mère porteuse, je vous l’accorde ! Nous autres, on voudrait en avoir d’autres des Bernard de Montréal !
BdM : Non, demandons des questions sérieuses, on poursuit (rires du public).
FP : Où est-ce qu’on en était ! On parlait de reproduction…
BdM : Je vais continuer.
FP : Oui. OK. Bon on va continuer. On fonctionne souvent, les Hommes, par loi d’analogie, donc on regarde un petit peu… nous autres on fonctionne comme ça, et je voudrais savoir si c’est correct d’après vous, on regarde donc le phénomène du spermatozoïde et de l’ovule, et aujourd’hui on regarde la comète de Halley passer dans notre ciel, et on s’aperçoit qu’elle a la forme d’un spermatozoïde, un noyau avec une grande queue filiforme.
On ausculte le noyau, on s’aperçoit qu’il contient de l’eau sous forme de glace et de l’ammoniac. Savez-vous où on retrouve de l’ammoniac à part dans le windex (produit nettoyant), seulement dans un spermatozoïde, dans le sperme ! Est-ce que la comète est un spermatozoïde cosmique qui vient féconder un ovule qu’on appelle la Terre ou une planète ?
BdM : La fonction de Halley, quand Halley passe, elle absorbe dans ses éthers subtils, des âmes, des mémoires, et elle les rapporte dans d’autres parties de l’univers. Halley c’est un vidangeur cosmique, et quand il passe dans les éthers autour de notre planète, dans notre système, il absorbe sur les plans subtils des âmes et il les amène dans d’autres parties de la galaxie.
Et c’est la fonction cosmique des planètes. Si nous regardons… Il y a une chose que je veux dire parce que votre intervention est intéressante ; si nous regardons l’univers à tous les niveaux, plan matériel, plan éthérique, plan astral, plan mental, ainsi de suite, nous voyons que ce qui existe en haut existe en bas, mais à une autre échelle.
Nous avons sur la Terre des gouvernements, (je déteste ce mot). Dans l’invisible sur les autres plans, il y a des gouvernements. Nous avons sur la Terre de la police, sur les autres plans il y a de la police. C’est évident que c’est pas la SQ (Sûreté Québec) mais il y a de la police (rires du public).
Donc l’Homme un jour, lorsqu’il aura accès à un autre véhicule, le véhicule éthérique, il pourra voyager dans ces mondes parallèles et comprendre l’organisation psychique des autres mondes, comprendre comment, pourquoi la vie est si grande, pourquoi elle est si complexe, comprendre l’échange entre les plans, et l’Homme sera obligé à ce moment-là, de ne plus avoir de facultés réflectives.
Tu ne peux pas réfléchir ou penser à l’infinité, le cerveau ne peut pas fonctionner, l’Esprit craque, mais une fois que l’Homme sera libre de réfléchir, qu’il aura une conscience mentale totalement totalement en fusion avec le double, son origine, à ce moment-là il aura accès à toutes ces choses, et il verra que la vie vaut réellement la peine d’être sue, à tous les niveaux.
Il n’aura plus la tendance qu’il a aujourd’hui sur le plan matériel à dire : “Ah ben ça, c’est con, ça c’est ci, ou ça c’est ça”. Il verra d’une façon totale, globale, intégrale. Mais il ne vivra plus du besoin de la connaissance, il n’aura plus aucun besoin de la connaissance parce que le savoir englobe et fait partie de l’Esprit alors que la connaissance fait partie de l’expérience de l’âme.
FP : Merci infiniment (Applaudissements).
mise à jour le 22/08/2024